Imaginez un fil allant de Toulouse à Tirana en passant par Lecce, et des allers-retours incessants entre ces trois cités méditerranéennes. Ce fil, c’est la pizzica, transe du sud de l’Italie créée par les femmes pour soigner les piqûres de tarentule, et se libérer de l’oppression du patriarcat. Dans ses fibres, on croisera tour à tour tarentelles hypnotiques, sonorités albanaises, jazz espiègle, et valses frénétiques.
Une rencontre inédite entre Maria Mazzotta, l’une des voix les plus emblématiques de la région des Pouilles, et Pulcinella, quartet toulousain explosif.
avec :
Maria Mazzotta voix et tamburello Florian Demonsant ou Corentin Restif accordéon, orgue Elka et voix Ferdinand Doumerc saxophones, flûte, glockenspiel, clavier Armon et voix Pierre Pollet batterie Jean-Marc Serpin contrebasse
Jacques Masliah régie son
Coproduction Festival Toulouse d’été, Mairie de Toulouse, Scène Nationale d’Albi
PRESSE
« Le quatuor Pulcinella (…) souligne au fusain cette voix bouleversante et profonde, puis profite des interstices pour lâcher les chevaux. (…) On passe en une nanoseconde des larmes au rire, cette association est décidément démoniaque. » La Dépêche
«Ensemble ils annulent les différences culturelles et proposent un répertoire très dense de tarentelles, pizzicas trafiquées, valses enjôleuses, mazurca ….et autres réjouissances captivantes que l’on vous recommande vivement sur scène. »FIP
« (…) Un album qu’on voudrait donner en exemple pour ce genre de rencontres musicales, pour une simple raison: sa puissance d’affirmation. (…) La morsure de la tarentule et les fêtes adriatiques inventent ici un disque de jouissance simple et évident. » Jazz News
« The album is the perfect convergence of diverse musical perspectives and proficient musicians. » Songlines