Expérimenter les limites esthétiques et les points de convergences entre les pratiques musicales et vidéos : comment associer l’espina niçoise aux percussions du gwoka guadeloupéen ? Le chant andalou au chant créole ? Qu’est-ce que cela produit en termes d’esthétique et d’émotions ? Comment dire d’où l’on vient, le filmer, le jouer, quand on vit en détention ?
7 mois durant, 3 artistes et 20 personnes détenues du Centre de détention de Muret se sont questionnés sur leurs racines, les racines.
Le « résultat » ? Une performance musicale et vidéo hybride et détonante.
avec :
20 détenus du Centre de Détention de Muret (31)
Jérémy Couraut : espina, chant, composition
Paco Serrano : saxophone, machines, composition
Léa Striffling : VJing
Ce projet a été mené grâce au soutien du fonds de dotation InPACT – Initiative pour le partage culturel Avec le soutien de la DRAC Occitanie et de la DISP de Toulouse dans le cadre du programme CULTURE-JUSTICE.
VIDEO
En cours !
CITATIONS
« (…) plus qu’un simple concert : voir ce rhizome pousser là, devant nous, in vivo. Vive la respiration, vive la musique ! » INTRAMUROS, à propos de Rhizomes (2016).
« Les rhizomes courent sour la terre et de là naissent et s’épanouissent les cultures. Ce nom, choisi pour ce groupe éphémère, a tenu ses promesses dans un concert qui s’inscrit dans les évènements rares. » SOUILLAC EN JAZZ, à propos de Rhizomes (2016)